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Anciens commerces de la rue du Vivier : Différence entre versions

De WikiNiort
 
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:En septembre 1913, Gabriel Alphier et son épouse Elisabeth Girard ont vendu leur épicerie située au N°67 de la rue du Vivier à Amédée Geneau.
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:En septembre 1928, au '''N°67''', une épicerie-mercerie et primeurs est achetée et exploitée par Alfred Agosse.
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:Beaucoup d'ouvriers des usines Marot venaient prendre un petit verre en sortant du travail, le midi et le soir.  
 
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:Il y avait une forêt de vélos, d'après les anciens du quartier.
 
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:Près de ce café, au N° 96, il existait un atelier de réparation de vélos. Son propriétaire était Jean Bénetreau.
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:Près de ce café, au '''N° 96''', il existait un atelier de réparation de vélos. Son propriétaire était Jean Bénetreau.
 
==Sources==
 
==Sources==
 
:*Témoignages.
 
:*Témoignages.
:*Annuaires 1928 et 1936.
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:*Annuaires 1913, 1928 et 1936.
:*JMD
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:*Texte, illustrations et mise en page : Jean-Michel Dallet.

Version actuelle en date du 27 mai 2023 à 20:02

Changement de propriétaires : Extrait du " Mémorial des Deux-Sèvres " (1939).

Anciens commerces café-épicerie

" À la Bonne Entente "

Ce café-épicerie est cité par des Niortais, habitants du Bas et Haut Surimeau, qui travaillaient aux Usines Marot.
Il se situait dans la rue du Vivier.
En 1928, un café-alimentation " À la Bonne Entente " au N° 71, était tenu par Monsieur Adolphe Veteau (Voir photo).
À cette même adresse, Ernest Chantemerle exerçait le métier de chaisier,
Ce café-épicerie se situait face l'Impasse du Vivier .

Autre épicerie de la même époque :

En septembre 1913, Gabriel Alphier et son épouse Elisabeth Girard ont vendu leur épicerie située au N°67 de la rue du Vivier à Amédée Geneau.
En septembre 1928, au N°67, une épicerie-mercerie et primeurs est achetée et exploitée par Alfred Agosse.

" Le Café de la Source "

En 1936, au N° 89, tout près de la source du Vivier se trouvait " Le Café de la Source " tenu par Alphonse Malvault.
Beaucoup d'ouvriers des usines Marot venaient prendre un petit verre en sortant du travail, le midi et le soir.
Il y avait une forêt de vélos, d'après les anciens du quartier.
Près de ce café, au N° 96, il existait un atelier de réparation de vélos. Son propriétaire était Jean Bénetreau.

Sources

  • Témoignages.
  • Annuaires 1913, 1928 et 1936.
  • Texte, illustrations et mise en page : Jean-Michel Dallet.