Friche SEITA, l'histoire du lieu : Différence entre versions
| Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
[[Catégorie:Economie]] | [[Catégorie:Economie]] | ||
| − | '' | + | A l'emplacement de la S.E.I.T.A en 1938, existait l'usine MESCLE qui fabriquait du contreplaqué et des crosses de fusils. Elle employait 150 ouvriers qui travaillaient en 3 x 8 sauf le samedi et le dimanche. |
| + | |||
| + | L'été par temps chaud, la direction distribuait des boissons. | ||
| + | L'approvisionnement en billes de bois d'Oukoumé venant d'Afrique via la Rochelle était | ||
| + | assuré par la gare de marchandise située un peu plus haut vers les cimetières et qui s'appelait Bouillounouse. | ||
| + | |||
| + | Les dirigeants Monsieur et Madame Victor MESCLE avaient 2 enfants, Robert et Christian. L'usine fut détruite par un incendie en décembre 1938. | ||
| + | |||
| + | L'emplacement fut repris par les batteries TUDOR qui fabriquaient des accus pour les sous-marins Allemands. L'usine a été détruite pendant la guerre par un incendie. | ||
| + | |||
| + | |||
| + | |||
| + | == Sources == | ||
| + | |||
| + | Témoignage recueilli auprès de Monsieur Pierre Naudin, habitant Souché depuis 1934, qui fut ouvrier dans cette usine de mai 1938 jusqu'à sa destruction par un incendie. | ||
Version du 2 juin 2012 à 15:08
A l'emplacement de la S.E.I.T.A en 1938, existait l'usine MESCLE qui fabriquait du contreplaqué et des crosses de fusils. Elle employait 150 ouvriers qui travaillaient en 3 x 8 sauf le samedi et le dimanche.
L'été par temps chaud, la direction distribuait des boissons. L'approvisionnement en billes de bois d'Oukoumé venant d'Afrique via la Rochelle était assuré par la gare de marchandise située un peu plus haut vers les cimetières et qui s'appelait Bouillounouse.
Les dirigeants Monsieur et Madame Victor MESCLE avaient 2 enfants, Robert et Christian. L'usine fut détruite par un incendie en décembre 1938.
L'emplacement fut repris par les batteries TUDOR qui fabriquaient des accus pour les sous-marins Allemands. L'usine a été détruite pendant la guerre par un incendie.
Sources
Témoignage recueilli auprès de Monsieur Pierre Naudin, habitant Souché depuis 1934, qui fut ouvrier dans cette usine de mai 1938 jusqu'à sa destruction par un incendie.
