Pôle Personnes âgées à Souché : Différence entre versions
(Page créée avec « Catégorie:Souché == La Coudraie == Il y a des endroits comme ça que les gens rebaptisent spontanément. Les Avelines ? Dans le quartier, à Souché, tout le monde d... ») |
|||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[[Catégorie:Souché]] | [[Catégorie:Souché]] | ||
| + | == La Coudraie == | ||
| + | [[Fichier:Les_Avelines_Entrée.jpg|800px|right|thumb|L'entrée des Avelines]] | ||
| − | |||
Il y a des endroits comme ça que les gens rebaptisent spontanément. Les Avelines ? Dans le quartier, à Souché, tout le monde dit « La Coudraie » ! Sans doute parce que c’est le nom de la rue qui dessert ces équipements. Et peut-être parce qu’avant encore, c’était le nom du lieu. | Il y a des endroits comme ça que les gens rebaptisent spontanément. Les Avelines ? Dans le quartier, à Souché, tout le monde dit « La Coudraie » ! Sans doute parce que c’est le nom de la rue qui dessert ces équipements. Et peut-être parce qu’avant encore, c’était le nom du lieu. | ||
| Ligne 13 : | Ligne 14 : | ||
Ils ont tous eu vingt ans un jour, celles et ceux qui s’installent à la Maison de retraite des Avelines. | Ils ont tous eu vingt ans un jour, celles et ceux qui s’installent à la Maison de retraite des Avelines. | ||
Aujourd’hui, les plus jeunes des soixante-cinq résidents flirtent avec les 90 ans. Beaucoup sont d’ailleurs d’anciens locataires du foyer-logement voisin. | Aujourd’hui, les plus jeunes des soixante-cinq résidents flirtent avec les 90 ans. Beaucoup sont d’ailleurs d’anciens locataires du foyer-logement voisin. | ||
| − | + | [[Fichier:Les_Avelines.jpg|600px|right|thumb|Les Avelines]] | |
Vingt ans, c’est justement l’âge des Avelines, inaugurée le 29 mai 1992 par René Teulade alors ministre des Affaires sociales. Le foyer-logement, pour sa part, compte bien dix bonnes années de plus. C’est pourtant lui qui accueille les plus jeunes, ou du moins les plus valides. | Vingt ans, c’est justement l’âge des Avelines, inaugurée le 29 mai 1992 par René Teulade alors ministre des Affaires sociales. Le foyer-logement, pour sa part, compte bien dix bonnes années de plus. C’est pourtant lui qui accueille les plus jeunes, ou du moins les plus valides. | ||
Version actuelle en date du 13 septembre 2012 à 16:19
La Coudraie
Il y a des endroits comme ça que les gens rebaptisent spontanément. Les Avelines ? Dans le quartier, à Souché, tout le monde dit « La Coudraie » ! Sans doute parce que c’est le nom de la rue qui dessert ces équipements. Et peut-être parce qu’avant encore, c’était le nom du lieu.
Entre Souchéco et les écoles Edmond Proust, à deux pas de la vallée du Lambon, deux équipements ont été construits: un foyer-logement et une maison de retraite. Même si la dénomination officielle est maintenant EHPAD (pour Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), c’est pareil, les gens continuent à parler de la maison de retraite.
On n’a pas tous les jours vingt ans…
Ils ont tous eu vingt ans un jour, celles et ceux qui s’installent à la Maison de retraite des Avelines. Aujourd’hui, les plus jeunes des soixante-cinq résidents flirtent avec les 90 ans. Beaucoup sont d’ailleurs d’anciens locataires du foyer-logement voisin.
Vingt ans, c’est justement l’âge des Avelines, inaugurée le 29 mai 1992 par René Teulade alors ministre des Affaires sociales. Le foyer-logement, pour sa part, compte bien dix bonnes années de plus. C’est pourtant lui qui accueille les plus jeunes, ou du moins les plus valides.
Dans chaque maison de ce type existe une association qui regroupe résidents, familles et amis dont la fonction et de faciliter les contacts et les animations qui rendent la vie plus agréable. Ici l’association s’appelle Les Coudriers. Elle fait venir des musiciens, organise des jeux et permet, par la magie d’internet, d’avoir des contacts (et surtout des images) des familles.
Un pôle qui se développe
Bientôt, un nouveau bâtiment complètera le pôle, destiné à accueillir des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, comprenant leur hébergement et les unités de soins correspondantes.
Sources
Nouvelle République du 12 avril 2012
