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Statue de la Place de Strasbourg : Différence entre versions

De WikiNiort
 
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== Place de Strasbourg ==
 
La place de Strasbourg date de 1770 sur l’emplacement de la barbacane de la porte Saint-Gelais. (Voir [[Fortifications de la ville]]).
 
  
Par arrêté du 24 décembre 1825, elle prit le nom de place d’Henri IV.
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== Place de Strasbourg à Niort ==
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:La place de Strasbourg date de 1770. Elle est située sur l'ancien emplacement de la barbacane de la porte Saint-Gelais. (Voir l'article sur les [[Fortifications médiévales de la ville|Fortifications de la ville]]).
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'''Cette place changea 5 fois de nom :'''
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:- Elle se nommait Place de Saint-Gelais et était située à l'extrémité de la promenade de Saint-Gelais. (Voir photo plan).
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:- Elle prit le nom de Place de l'Égalité après la Révolution de 1789.
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:- Par arrêté du 24 décembre 1825, elle prit le nom de Place d’Henri IV.
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:- Puis par délibération du 12 novembre 1833, elle prit le nom de Place Napoléon '''(1)'''.
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:- C’est en 1872 qu’elle prit enfin le nom de Place de Strasbourg en souvenir de la guerre de 1870.
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[[Fichier:Place Strasbourg 1870 Fontaine.jpg|250px|right|thumb|Fontaine dite d'Henri IV, surmontée du buste de Napoléon.]]
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'''Cette Place possédait une fontaine dite d'Henri IV (Voir photo) (2) :'''
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:Jusqu’au milieu du XIXe les habitants de plus de 20 rues venaient s’approvisionner d’eau à l’unique borne-fontaine de la Place.
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::'''(1)''' '''Le 4 septembre 1870''', lors de la proclamation de la IIIe république, Alfred Monnet (1820-1890) alors maire de Niort, fit déboulonner la statue de Napoléon Ier qui se trouvait sur cette place, la Place Napoléon.
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::Il ordonna qu’on la jetât comme une épave dans une des cours de l’école du Nord (Aujourd'hui école Jules Ferry).
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::Cette statue s'y retrouva vite mutilée...
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::'''(2)''' Cette photo est l'œuvre de Maurice Duburguet, photographe au 25 Avenue Bujeault.
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[[Fichier:1881 Inauguration Monum Guerre 1870.jpg|250px|right|thumb|Inauguration et discours prononcé le 9 octobre 1881.]]
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==Buste Napoléon==
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:En septembre 1870, fut renversée, en cet endroit, une statue de pierre représentant Napoléon Ier (Voir ci-dessus) '''(1)'''.
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:'''Cette statue en terre cuite du buste de Napoléon Ier avait été réalisée par Jacques Jacquelin (1803-1871), peintre en décors et sculpteur.'''
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:Ce sculpteur était aussi l’auteur de la statue de Gutenberg de [[FABRE Léopold (Éditeur et Maître imprimeur niortais au XIXe)|l’imprimerie Robin-Fabre]].
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== Statue : « ''Gloria Victis'' » ==
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:La statue "Gloria Victis" fut élevée sur la place de Strasbourg pour honorer la mémoire des soldats des Deux-Sèvres victimes de la [[Guerre franco-prussienne de 1870|guerre franco-prussienne de 1870]].
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:En 1881, c’est sur l’emplacement de la fontaine dite d'Henri IV que fut installée la reproduction de cette statue en bronze : « Gloria Victis » (Gloire aux Vaincus).
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:'''''L’original fut réalisé par Antonin Mercié en 1875.'''''
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:Le 16 juin 1881, le Conseil municipal de Paris a autorisé la ville de Niort à faire reproduire en bronze le groupe "''Gloria Victis''".
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'''Cette statue représente :'''
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::« ''Une Gloire, ailée et cuirassée, emporte un jeune guerrier mourant pour l’élever jusqu’aux cieux, vers la Renommée et l’Immortalité. En équilibre sur la pointe d’un pied, la figure allégorique se dresse, ses ailes sont déployées, l'envol est proche. »''
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:La fonderie Thiébaut Frères  fut chargée de la fonte de ce groupe.
  
Par délibération du 12 novembre 1833, elle prit le nom de Place Napoléon.
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'''L’inauguration eut lieu le dimanche 9 octobre 1881, en présence du Général Gaston de Galliffet (1831/1909) et d'[[Antonin Proust]], maire de Niort et ministre des Arts sous Gambetta.''' (Voir photo).
  
C’est en 1872 qu’elle prit le nom de Place de Strasbourg en souvenir de la guerre de 1870.
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==Anecdotes==
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:En 1942, cette statue de bronze ne fut pas démontée pour les nazis pour être fondue, parce qu'elle représentait un monument aux morts...
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:Fin 1944, à la Libération, au pied de cette statue, une femme, ayant eu des relations proches des Allemands, fut tondue devant une foule hostile et vengeresse.
  
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==Cave souterraine==
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:Sous la Place, dans le coin nord-ouest se trouve une [[Cave à croisée d'ogives]] découverte en 1817.
  
== Statue: « Gloria Victis » ==
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==Sources==
 
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:*Niort et banlieue Clouzot.
Ce monument fut élevé en 1881 sur la place de Strasbourg pour honorer la mémoire des soldats des Deux-Sèvres victimes du de la guerre franco-prussienne de 1870.
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:*Prosper Casimir 1870/1871 - Les pages douloureuses de la Guerre.
 
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:*"''Le Journal de la Vienne et des Deux-Sèvres''" 1881.
C’est sur l’emplacement de la fontaine dite de Henri IV que fut installée en 1881 la reproduction de cette statue en bronze: « Gloria Victis » (Gloire aux Vaincus).
+
:*Archives des Deux-Sèvres.
 
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:*Mémorial des Deux-Sèvres 1877, 1881, 1904.
L’original fut réalisée par Antonin Mercié en 1874.
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:*[[Henri Gelin (rue)|Henri Gelin]].
 
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:*[https://www.petitpalais.paris.fr/oeuvre/gloria-victis Gloria Victis].
L’inauguration eut lieu le 9 octobre 1881 sans doute en présence de Antonin Proust, maire de Niort et ministre des Arts sous Gambetta.
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:*Texte, illustrations et mise en page : Jean-Michel DALLET.
 
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<center>''Cliquez sur l’image pour l’agrandir''</center>
 
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== Guerre de 1870==
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Fichier:Promenade Saint Gelais XIXe.jpg|Plan de la " Promenade Saint Gelais " XIXe..
 
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Fichier:Place Strasb Canons.jpg|Place de Strasbourg et sa Statue flanquée de 2 canons.
La guerre entre la France et la Prusse est déclarée en juillet 1870.
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</gallery>
 
 
Le régiment du 34è des gardes mobiles comptait plus de 9000 hommes dont 1200 Deux-Sèvriens sous les ordres du général Dupré.
 
 
 
Le 6 octobre 1870, une bataille menée par Dupré fit au moins 800 morts.
 
 
 
Cette guerre coûtât la vie à plus de 140 000 morts à la France.
 
 
 
Le 1er régiment du train d’artillerie établit un campement provisoire près de la fontaine du Vivier, près de la [[Grotte Marot]].
 
 
 
Les hommes et les chevaux bivouaquent sur un terrain humide et malsain, qui a contribué peut-être au développement des fièvres thyphoïdes et de la dyssentrie dont le régiment fut atteint.
 
 
 
Les mobiles et les francs-tireurs s’exercent sur la place de la Brèche.
 
 
 
Cette guerre qui dura moins d’un an entraîna la perte de « L’Alsace-Lorraine ».
 
 
 
 
 
== Conséquences de la guerre de 1870, blessures et maladies==
 
 
 
Dès septembre 1870 de nombreux blessés de cette guerre furent accueillis à l’Hôpital de Niort.
 
 
 
En novembre 1870, on comptait plus de 500 lits occupés par des malades ou blessés de guerre.
 
 
 
Certains furent atteint de la Variole qui se propageât dans la population niortaise.
 
 
 
Tous les bâtiments entourant le cloître furent transformés en hôpital militaire. (Voir [[Cloître (Hôpital-Hospice).]])
 
 
 
Il y eut 4554 malades et blessés soignés, 421 sont décédés.
 
 
 
C’est aux Fontenelles, appartenant à la congrégation de l’Immaculée-Conception depuis 1854, que furent accueillis les militaires, atteints de maladies contagieuses.
 
 
 
Leur nombre augmentait, on décide de les éloigner de l’hôpital aux Fontenelles..
 
 
 
Les varioleux étaient transportés dans la « Picotière » un véhicule datant de 1850.
 
 
 
Du 22 janvier 1871 à 1er mai 1871, 191 malades ont été soignés aux Fontenelles par le docteur Meschinet, 48 sont décédés, principalement de la variole.
 
 
 
C’est dans la chapelle des Fontenelles (Photo) que l’abbé [[Édouard Bontemps]] effectuait les services religieux des inhumations.  
 
 
 
Les principaux docteurs de l’Hôpital de Niort de cette période sont: Fontant, Gauné, De Meschinet, Tonnet, Eymer et Chebrou...
 
 
 
 
 
== Souvenirs de la guerre de 1870 dans la ville de Niort==
 
 
 
Cette guerre de 1870 fut à l’origine de plusieurs noms de rues et places du quartier Nord de Niort.
 
 
 
En souvenir d’une bataille des mobiles en 1870:
 
 
 
-Rue de la Burgonce (Bourgonce)
 
 
 
-Rue Villersexel
 
 
 
-Rue Beaune-la-Rolande.
 
 
 
La place Chanzy prit le nom du général de division Alfred Chanzy  qui participe au combat en 1870.
 
 
 
Ce n’est qu’en 1921 que lu rue Alsace-Lorraine prit ce nom après la reconquête de cette région.
 
 
 
 
 
 
 
== Anecdote: Mort du dernier soldat des Deux-Sèvres==
 
 
 
Le dernier soldat ayant participé à cette guerre fut Jean David né à Fomperron le 13 janvier 1849.  
 
 
 
Son père s’appelait René et sa mère Louise Grelet.
 
 
 
Il fut mobilisé le 6 juillet 1870.
 
 
 
Il était cultivateur et avait le matricule 675.
 
 
 
Il décède à Pamproux le 9 novembre 1949 à l’âge de 100 ans.
 
 
 
 
 
== Sources==
 
 
 
*Niort et banlieue Clouzot.
 
 
 
*Prosper Casimir 1870/1871 - Les pages douloureuses de la Guerre.
 
 
 
*Archives des Deux-Sèvres.
 

Version actuelle en date du 12 octobre 2024 à 07:25

Statue "Gloria Victis", place de Strasbourg.

Place de Strasbourg à Niort

La place de Strasbourg date de 1770. Elle est située sur l'ancien emplacement de la barbacane de la porte Saint-Gelais. (Voir l'article sur les Fortifications de la ville).

Cette place changea 5 fois de nom :

- Elle se nommait Place de Saint-Gelais et était située à l'extrémité de la promenade de Saint-Gelais. (Voir photo plan).
- Elle prit le nom de Place de l'Égalité après la Révolution de 1789.
- Par arrêté du 24 décembre 1825, elle prit le nom de Place d’Henri IV.
- Puis par délibération du 12 novembre 1833, elle prit le nom de Place Napoléon (1).
- C’est en 1872 qu’elle prit enfin le nom de Place de Strasbourg en souvenir de la guerre de 1870.
Fontaine dite d'Henri IV, surmontée du buste de Napoléon.

Cette Place possédait une fontaine dite d'Henri IV (Voir photo) (2) :

Jusqu’au milieu du XIXe les habitants de plus de 20 rues venaient s’approvisionner d’eau à l’unique borne-fontaine de la Place.
(1) Le 4 septembre 1870, lors de la proclamation de la IIIe république, Alfred Monnet (1820-1890) alors maire de Niort, fit déboulonner la statue de Napoléon Ier qui se trouvait sur cette place, la Place Napoléon.
Il ordonna qu’on la jetât comme une épave dans une des cours de l’école du Nord (Aujourd'hui école Jules Ferry).
Cette statue s'y retrouva vite mutilée...
(2) Cette photo est l'œuvre de Maurice Duburguet, photographe au 25 Avenue Bujeault.
Inauguration et discours prononcé le 9 octobre 1881.

Buste Napoléon

En septembre 1870, fut renversée, en cet endroit, une statue de pierre représentant Napoléon Ier (Voir ci-dessus) (1).
Cette statue en terre cuite du buste de Napoléon Ier avait été réalisée par Jacques Jacquelin (1803-1871), peintre en décors et sculpteur.
Ce sculpteur était aussi l’auteur de la statue de Gutenberg de l’imprimerie Robin-Fabre.

Statue : « Gloria Victis »

La statue "Gloria Victis" fut élevée sur la place de Strasbourg pour honorer la mémoire des soldats des Deux-Sèvres victimes de la guerre franco-prussienne de 1870.
En 1881, c’est sur l’emplacement de la fontaine dite d'Henri IV que fut installée la reproduction de cette statue en bronze : « Gloria Victis » (Gloire aux Vaincus).
L’original fut réalisé par Antonin Mercié en 1875.
Le 16 juin 1881, le Conseil municipal de Paris a autorisé la ville de Niort à faire reproduire en bronze le groupe "Gloria Victis".

Cette statue représente :

« Une Gloire, ailée et cuirassée, emporte un jeune guerrier mourant pour l’élever jusqu’aux cieux, vers la Renommée et l’Immortalité. En équilibre sur la pointe d’un pied, la figure allégorique se dresse, ses ailes sont déployées, l'envol est proche. »
La fonderie Thiébaut Frères  fut chargée de la fonte de ce groupe.

L’inauguration eut lieu le dimanche 9 octobre 1881, en présence du Général Gaston de Galliffet (1831/1909) et d'Antonin Proust, maire de Niort et ministre des Arts sous Gambetta. (Voir photo).

Anecdotes

En 1942, cette statue de bronze ne fut pas démontée pour les nazis pour être fondue, parce qu'elle représentait un monument aux morts...
Fin 1944, à la Libération, au pied de cette statue, une femme, ayant eu des relations proches des Allemands, fut tondue devant une foule hostile et vengeresse.

Cave souterraine

Sous la Place, dans le coin nord-ouest se trouve une Cave à croisée d'ogives découverte en 1817.

Sources

  • Niort et banlieue Clouzot.
  • Prosper Casimir 1870/1871 - Les pages douloureuses de la Guerre.
  • "Le Journal de la Vienne et des Deux-Sèvres" 1881.
  • Archives des Deux-Sèvres.
  • Mémorial des Deux-Sèvres 1877, 1881, 1904.
  • Henri Gelin.
  • Gloria Victis.
  • Texte, illustrations et mise en page : Jean-Michel DALLET.
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